Nous sommes ravis de retrouver Betuned dans le dernier article de Solutions Magazine ! « Betuned ouvre l’employer branding Ă l’IT » đ
Betuned ouvre l’employer branding Ă l’IT
Dans la quĂȘte de talents, Betuned mise sur l’employer branding. AprĂšs un an d’expĂ©rience dans diffĂ©rents secteurs, la jeune pousse investit l’IT.
Le recrutement de talents IT est difficile, on ne cesse de le rĂ©pĂ©ter. Dans sa dĂ©marche, Betuned active lâemployer branding via des vidĂ©os de recrutement, les campagnes de marketing digitales pour cibler les bons talents sur les rĂ©seaux sociaux, pour les faire rentrer dans un processus de sĂ©lection avec de lâintelligence articielle plus, Ă©videmment, une solide expertise humaine. En somme, une dĂ©marche innovante pour, sinon changer la donne, du moins ouvrir une nouvelle porte. Betuned se prĂ©sente comme un mĂ©dia dĂ©diĂ© Ă lâemploi. Avec des articles, des vidĂ©os. Egalement des webinars, des events, des afterworks. Plus des formations tant pour les sociĂ©tĂ©s que pour les candidats. «Betuned est un crĂ©ateur de communautĂ©s, assure AmĂ©lie Alleman, CEO, Betuned. Câest dâabord une rencontre, câest ensuite une invitation Ă grandir ensemble !»
LâEMPLOYER BRANDING, LA MARQUE DâENTREPRISE
«Dans notre sociĂ©tĂ© axĂ©e sur lâhumain, la gestion des ressources humaines est plus importante que jamais. En investissant non seulement dans le marketing, mais aussi dans le personnel, vous pouvez lâemporter sur la concurrence», estime AmĂ©lie Alleman.
Et câest lĂ quâintervient lâemployer branding. A savoir lâimage que vĂ©hicule lâorganisation en tant que lieu de travail attractif auprĂšs des employĂ©s actuels et des principaux stakeholders -relations et partenaires, candidats actifs et passifs, mais aussi clients- sur le marchĂ© externe. Plus simplement, lâemployer branding esquisse lâidentitĂ© dâune entreprise et la prĂ©sente au monde extĂ©rieur comme un environnement oĂč il fait bon travailler.
«Câest un peu ce quâon peut appeler la âmarque entrepriseâ dâune sociĂ©tĂ© comme on pourrait le dĂ©terminer au niveau marketing. Câest son ADN, sa culture, ce qui lui est propre quâon va essayer de divulguer sur le marchĂ©, notamment pour attirer les talents, favoriser lâengagement et la rĂ©tention des employĂ©s.»
LE RECRUTEMENT AUJOURDâHUI : 50 % DE âSOFTâ !
AmĂ©lie Alleman nâen est pas Ă son coup dâessai, elle a dĂ©jĂ Ă son actif la crĂ©ation de deux sociĂ©tĂ©s de recrutement. Fin 2018, suite Ă la revente de sa deuxiĂšme sociĂ©tĂ©, elle se lance un nouveau dĂ©fi : crĂ©er une plateforme de recrutement unique mettant en valeur lâADN des entreprises. «Ces derniĂšres annĂ©es, le recrutement a Ă©normĂ©ment Ă©voluĂ©, notamment avec lâavĂšnement des rĂ©seaux sociaux, explique-t-elle. Aujourdâhui, un recrutement est quasiment basĂ© Ă 50% sur tout ce qui est âsoftâ, donc tout ce quâon va appeler la culture dâentreprise dâune sociĂ©tĂ©. ConcrĂštement, le candidat va vraiment rechercher autre chose que les compĂ©tences techniques du job. Il va notamment sâinvestir dans la culture dâentreprise ⊠Lâentreprise a-t-elle une politique de responsabilitĂ© sociĂ©tale ? Quelles sont ses valeurs ? Favorise-t-elle le travail Ă distance ?»
DES CAPSULES DE 1 MINUTE 30
AmĂ©lie Alleman nâaborde pas le marchĂ© IT les mains vides. Elle peut mettre en avant son expĂ©rience avec Akros Solutions. «JâĂ©tais dans lâIT. Avec Betuned, lancĂ©e en septembre 2019, jâai touchĂ© dâautres secteurs, pour dâautres compĂ©tences, ce qui est trĂšs enrichissant.» En un an, Betuned a attirĂ© une trentaine de clients, dont certains ont dĂ©jĂ dĂ©passĂ© la trentaine de projets.
Par projets, il faut entendre des vidĂ©os – des capsules de 1 minute 30. Betuned sâoccupe de tout, Ă commencer par le storytelling, ou comment mettre en avant lâentreprise sous lâangle des candidats, son ADN et sa culture. Lâentreprise bruxelloise peut aussi sĂ©lectionner pour ses clients les meilleurs candidats sur base de leurs critĂšres en faisant appel Ă lâintelligence articielle mais aussi Ă lâexpertise humaine de ses recruteurs. Enn, Betuned ore un service de placement de CDI et freelances en mode «No Cure, No Pay».
Merci Alain de Fooz pour ce super article !